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Faces of Fedasil: Josh

Josh, né et élevé au Cap en Afrique du Sud, a déménagé en Belgique il y a quatre ans pour terminer ses études et construire une nouvelle vie. Aujourd’hui, il travaille comme expert social au centre Fedasil Broechem où il accompagne quotidiennement des demandeur∙deuses d’asile.

Du Cap à la Belgique : construire une nouvelle vie

Je m’appelle Josh, je suis né et ai grandi au Cap, en Afrique du Sud. Il y a 4 ans, je suis venu en Belgique pour terminer mes études et trouver ma voie dans un nouvel environnement. Ayant grandi dans une société multiculturelle, j’ai toujours su que je voulais faire un travail avec les gens. Pourtant, la voie académique m’a souvent semblé lointaine. Ce qui me motive, c’est le contact humain – et ça, je l’ai trouvé en abondance à Fedasil.

Expert social à Fedasil : chaque jour est un enrichissement

Bien que j’avais peu d’expérience dans le secteur de l’asile, j’ai trouvé ma voie en tant qu’expert social. Depuis que j’ai commencé, il y a cinq mois, j’ai pu mettre à profit ma passion pour l’humain afin d’apporter une contribution utile à la vie des demandeur∙deuses d’asile. C’est un travail difficile, mais la gratitude et la confiance des résident∙es me donnent de l’énergie.

Défis et solutions

Travailler dans un centre d’asile est loin d’être facile. Chaque jour apporte de nouveaux défis : des problèmes complexes, des personnes qui luttent contre elles-mêmes et leur environnement, et des situations qui n’ont souvent pas de solution facile. Mais il y a tout autant de journées remplies de rencontres significatives, où l’écoute et l’accompagnement sont au centre des préoccupations. Cela permet de tisser un lien plus profond avec les résident∙es et sentir que l’on fait vraiment la différence.

Aucun jour n’est le même

Une constante dans mon job ? La variété. Chaque jour est différent, avec des nouvelles situations et de nouveaux problèmes. Certaines personnes pourrait trouver cela difficile mais je vois cela comme quelque chose de passionnant. Cela me tient en haleine et me permet d’être créatif dans la recherche de solutions.

Comment les gens réagissent à mon travail

Lorsque je dis ce que je fais, je constate que les gens montrent souvent du respect et de la reconnaissance. Les défis auxquels sont confronté∙es les demandeur∙deuses d’asile sont bien connus et de nombreuses personnes admirent le travail que je fais. D’un autre côté, il y aussi des réactions qui sont moins positives. Pourtant, c’est toujours un honneur pour moi de partager des histoires de ce secteur et de construire un pont entre des mondes différents.

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